Réponse
- De nombreuses personnes à bas revenu – principalement des femmes – n’auront toujours pas de prévoyance professionnelle, ou alors seulement une prévoyance très faible.
- Si le taux de conversion n’est pas abaissé, les caisses de pension qui n’offrent que des prestations minimales continueront d’utiliser le rendement de l’avoir de vieillesse des actifs pour financer les rentes des retraités. Ainsi, les futures rentes des actifs seront moins élevées que si ce financement croisé disparaissait.
- En cas de rejet, les caisses de pension concernées risqueront toujours d’être confrontées à des lacunes de financement. Dans un tel cas, il serait possible que les assurés et les employeurs doivent combler ces lacunes en versant des cotisations supplémentaires.